Rien de tel que de partager les histoires de consoeurs qui ont réussi pour se booster le moral et trouver de l’inspiration.
Pour commencer, peux-tu te présenter brièvement ?
Jennifer, britannique et française, vivant dans le 77 depuis 20 ans. Mariée, deux enfants.
Quand as-tu démarré ton activité d’assistante virtuelle ?
Avril 2016.
Pour quelles raisons as-tu décidé de te mettre à ton compte? Que recherchais-tu ?
Mon ancien employeur a réorganisé l’équipe administrative, du coup il m’a remercié.
Je cherchais à travailler autrement, en gardant ma liberté puis à remplacer mon ancien salaire.
Est-ce que tu as atteint cet objectif ?
Oui !
Quels services proposes-tu ? Quelle est ta spécialité ?
Ma niche est les services bilingues, pour des français qui ont besoin de soutien en anglais ou vice versa.
Du coup je propose beaucoup de services, mais cela reflète les expériences diverses et variées que j’ai pu avoir en tant que PA (=Personal Assistant, Assistante personnelle) puis EA (=Executive Assistant, Assistante de Direction).
Combien de clients as-tu ? Qui sont-ils?
Une dizaine. Des artisans, coaches, entrepreneurs principalement.
Comment as-tu trouvé tes clients ?
Réseautage en ligne et en personne.
Au bout de combien de temps avais-tu assez de clients pour avoir le salaire que tu t’étais fixé ?
J’ai atteint le CA que je visais en 2019 (je l’ai même dépassé de presque 70%) mais c’est beaucoup grâce à mon équipe et je réinvestis encore pas mal. Donc je ne verse pas encore autant que je voudrais à ma famille, mais je m’en sors car beaucoup de choses passent en frais professionnels donc je n’ai pas l’impression de me priver.
Si tu devais le refaire, que ferais-tu différemment ?
Je finirai la formation de VA plus rapidement.
Quelle était ta formation initiale ? Quelles formations as-tu suivi dans le cadre de ton activité (pour te lancer ou pour développer tes compétences) ?
J’ai acquis le BTS Assistant de Gestion par le VAE. J’ai suivi une formation pour devenir AV avec un coach anglais. Puis de modules de formation de sujets de business via le FEA- Female Entrepreneur Association.
Que dirais-tu aux filles qui hésitent à se lancer ?
Beaucoup de choses: soyez claire sur vos objectifs, votre pourquoi, sortez de votre zone de confort et osez, osez !
Aujourd’hui mon objectif est de maintenir le cap puis de donner un coup de main à ceux qui arrivent derrière moi
Jennifer, My Bilingual VA
Dis-moi ce que tu as pensé de ce témoignage en commentaire ci-dessous. Si tu aimerais en savoir plus, mets tes questions et je pourrais essayer de la convaincre de refaire un entretien en vidéo ? 😉